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 Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo

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Eponane

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MessageSujet: Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo   Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo Icon_minitimeMer 1 Aoû - 23:15

Je me permets d'ouvrir un nouveau topic où l'on pourrait poster nos avis et critiques faisant état de littérature, cinéma, musique, exposition car on gagne toujours à partager les choses que l'on apprécie, cela permet de s'enrichir mutuellement ^^


Là tout de suite, j'ai envie de parler d'une de mes séries préférées du moment, à mon sens trop peu connues. J'ai nommé Le Pavillon des Hommes, et contrairement à ce que le titre pourrait indiquer, il ne s'agit pas d'une manga yaoi (du boy's love, quoi).

Le Pavillon des Hommes propose un récit se déroulant durant l'Ére Edo. Une étrange maladie se propage à travers tout le pays, ne frappant exclusivement que les hommes. La gente masculine étant décimée, ce sont aux femmes de prendre en main la situation de façon à assumer les tâches qui revenaient auparavant aux hommes. Aussi deviennent-elles chefs de famille, patronnes des commerces., etc.

La sphère politique est elle aussi touchée puisque le nouveau Shôgun se trouve être désormais une femme. Cette dernière dispose d'un pavillon abritant les plus beaux hommes du pays qui n'ont pour seul but de devenir « la graine » qui donnera vie au prochain héritier. A côté de cela, la multitude de japonaises de classe moyennes se désespèrent de tomber enceintes et sont obligées de fréquenter des bordels constitués d'hommes malades ou bien dont les faveurs sont trop onéreuses pour leurs bourses.

L'équilibre entre homme et femme est complètement bouleversé et leurs rapports sont de ce fait entièrement différents.

L'intrigue se concentre sur ce fameux pavillon et son mode de fonctionnement tenus absolument secret au reste de la population. Le huit-clos que représente ce lieu est le terrain de manipulations, complots, et enjeux politiques émanant de cette communauté masculine.


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Les couvertures des tomes us


Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo 1203010711254550
Les Shôgun présentés du tome 2 au 6.


Le premier tome se distingue des autres dans la mesure où il se passe au moment présent. Alors que les autres font offices de flash-backs nous permettant de traverser les générations et d'assister de la création du pavillon à ses évolutions rythmées par les différents Shoguns qui s'y succéderont.

Cette série de Fumi Yoshinaga est actuellement encore en cours, forte de sa popularité elle a donné naissance en 2010 à un film étant une adaptation du premier tome, ce dernier a connu un succès retentissant. La nouvelle d'une suite est toute fraîche car effectivement un drama va promptement être tourné portant sur les tomes 2 à 4 (soit la création du Pavillon et le premier Shogun femme), ce dernier donnera suite à un film qui adaptera les volumes 4 à 7.

Cette œuvre offre une belle palette de personnages bien que certains soient très similaires au niveau de leurs traits. Les dessins sont beaux il faut l'avouer, et l'histoire est prenante puisque malgré cette uchronie on retrace bien l'histoire du pays. Les personnes friandes d'intrigues de palais seront comblées ! J'avais acheté le premier tome par hasard en juin dernier, je suis retournée à la librairie y récupérer la suite le lendemain tant j'avais été emportée par la fresque y étant présentée. Ce n'est pas le manga du siècle mais dans sa globalité il est très divertissant, cela apporte du changement dans ce que l'on peut lire communément.
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Eponane

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MessageSujet: Re: Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo   Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo Icon_minitimeDim 5 Aoû - 12:48

Today, je vais vous parler (longuement car quand on aime on ne compte pas... Même si Namerc dit le contraire) d'une de mes séries favorites, il s'agit de l'anime Gankutsuou - Le Comte de Monte Cristo. Un petit résumé s'impose avant de rentrer dans le vif du sujet:


Tout commence en l’an 5053, alors qu’Albert de Morcerf et son ami Franz d’Epinay, deux jeunes aristocrates parisiens en quête d’aventure sont de séjour sur la planète Luna pour assister aux festivités qui vont s’y dérouler. Un soir, alors qu’ils se rendent à l’opéra, Albert croise un noble et charismatique homme connu sous le nom de comte de Monte-Cristo. Nul ne connaît les origines du comte à la cape noire, mais les bruits de couloir affirment que cet homme se serait autoproclamé comme tel, tandis que son influence et sa richesse restent hautement énigmatiques. Certains disent qu’il s’agirait d’un nouveau riche, d’autres voient en lui un vampire ou même un extraterrestre venu de l’autre bout de l’Espace. Bref, le charme inné, la prestance et les mystères du comte de Monte-Cristo en font depuis sa récente apparition le centre des conversations de la haute société lunaire mais aussi du jeune Albert de Morcerf, totalement envoûté par le ténébreux aristocrate. Tout basculera lorsque lui et Franz recevront une lettre les invitant à le rencontrer dans sa luxueuse demeure. Dès lors, et tandis que Franz reste distant face à la terrifiante aura émanant de l’homme malgré son attitude de parfait gentleman, une étrange relation (sans aucun sous-entendu yaoïste soit dit en passant) se créera entre Albert et le comte de Monte-Cristo, le premier admirant le second et le second protégeant le premier. La série débutera réellement à l’épisode 3 alors qu’Albert et Franz s’en retournent sur leur Terre natale, direction la ville de Paris. En guise de remerciement pour avoir délivré le jeune homme d’un dangereux groupe criminel, le comte demandera humblement à Albert de l’introduire auprès de la haute société parisienne. Très vite, le comte s’intégrera, grimpera les échelons et deviendra célèbre dans la capitale française, charmant les uns et s’attirant les foudres de quelques autres. En tout cas, personne ne restera insensible face à son irrésistible charisme. Mais les apparences sont parfois trompeuses…

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A mon sens, il s'agit juste du meilleur anime de la dernière décennie, avec Last Exile [la première saison].

Parfois, on ne sait pas vraiment quoi faire pour passer le temps, ce fût mon cas ce 16 juillet 2010 où j'ai découvert par hasard cet anime. Je me suis dis au vu du design que c'était vraiment un ovni, et que pour essayer d'adapter ce monstre de la littérature française ce serait sûrement un nanar, et bien que nenni !

L'adaptation est assez libre, certes, mais ce qui change diamétralement la donne par rapport au roman est le point de vue : l'anime choisit de nous faire vivre le récit à travers les yeux du jeune Albert. Aussi commence-t-on l'épisode avec sa première rencontre avec Comte, sautant ainsi trente-six chapitre par rapport à l'oeuvre originale d'Alexandre Dumas. L’un des principaux fils conducteurs de l’intrigue sera ainsi pendant longtemps de connaître l’identité et le passé du Comte, alors que ceux-ci nous sont révélés dès les premières pages du roman. Cependant ce passé ne sera pas forcément comme dans le livre, puisque la notion de “roi de la caverne” (traduction de “gankutsuou”), qui est elle inédite et apporte une dimension fantastique à l'histoire, ça rajoute pas mal de cachet, je trouve.

La seconde grande divergence avec le récit originale, plus flagrante, est l’énorme différence entre les univers où prennent place les deux oeuvres. Contrairement au début du 19ème siècle pour le roman, Gankutsuou prend place… dans le 51ème siècle ! On se retrouve donc dans un monde mêlant passé, présent et futur... La ville de Paris en est le plus bel exemple, constituant un génial mélange entre le 19ème siècle (tenues vestimentaires, étiquette de courtoisie, demeures…), le 20ème siècle (voitures au look rétro dont certaines rappellent les premières automobiles ou les Citroën du milieu de siècle dernier, présence de la Tour Eiffel et de l’arc de triomphe…), et une époque futuriste technologiquement avancée avec des vaisseau spatiaux (qui servent aussi pour les guerres, bien qu'on ne le montre pas dans l'anime), des hologrammes, ordinateurs surpuissants et même des méchas (ne fuyez pas: ils ne sont utilisés que lors d'un superbe duel qui d'ailleurs rend vraiment très bien à l'écran).

Bon ne vous attendez pas non plus à un surplus d'action: tout repose ici sur le scénario brillamment mené soit dit en passant, l’ambiance, la psychologie et les relations entre les personnages. C'est rare et franchement cela fait un bien fou, même si l'anime reste sombre, on ne s'en délecte que davantage.

Une chose que j'ai bien apprécié, c'est qu'à chaque début d'épisode, on a un résumé des événements en français, quand j'ai entendu ça j'ai été surprise puis séduite (bien que sur quelques mots, il y ait des fois des craquages). Le seiyuu a vraiment du avoir du mal, car cela reste vraiment très compréhensible par rapport à ce que donne le français prononcé en général par des japonais n'en ayant pas de notion.

Une autre très bon point pour cette série, c'est son graphisme: ce n'est vraiment pas banal, on dirait que c'est texturisé! Sérieusement, toutes ces couleurs chatoyantes rendent formidablement, en plus de l'intégration de certaines partie en 3D. Bref, la qualité du character-design et la mise en scène efficace offrent un spectacle quasi surréaliste voire parfois psychédélique, particulièrement plaisant pour les rétines! Ce serait limite hallucinogène lors de certaines scènes (comme le feu d'artifice sur Luna).

Et enfin parlons de la bande son, effectivement l'ost est superbe, surtout les pistes Prologue et Kaishou qui ont été les plus louées. Le reste est très bon aussi, elles sont finement utilisées au fil de l'anime, faisant la part belle aux instruments classiques (pas mal de piano, de guitare acoustique ou encore de violon) et aux pistes atmosphériques ou parfois électroniques. Bref, du génie, l'ost colle très bien à l’élégance de l’aspect visuel. Bien que je trouve l'ending assez ''agressif'', mais c'est une affaire de goût hein. Par contre, je suis tombée sous le charme de l'opening We Were Lovers, interprété en anglais par Jean-Jacques Burnel, il chante aussi une chanson qui apparaît à plusieurs moments Waltz in Blue et qui donne vraiment envie d'aller en vacance.

Que dire pour conclure sinon vous conseiller de vous jeter dessus, et d'aller lire le roman aussi par la suite ♥
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MessageSujet: Re: Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo   Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo Icon_minitimeMar 25 Sep - 22:13

Il y a des lustres que je n’ai pas pris le temps de poster -_-‘ Vu tout ce que j’ai eu l’occasion de lire et regarder le topic risque d’être souvent actualisé… courage à ceux qui parcourons ces lignes !

Aujourd’hui on va parler Shôjo , car et étant un véritable cœur d’artichaud dont la vie amoureuse est si chaotique qu’il se réfugie dans un monde utopique de love stories en 2D, il m’arrive d’en lire.

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Il faut savoir que j’ai commencé mon incursion dans le monde du manga avec ce genre là (j’étais jeune, aussi y a-t-il prescription), aussi ai-je un attachement tout particulier à certaines séries absolument écoeurantes tant c’est guimauve.Grand bien vous en fasse, ce n’est pas une licence de ce type dont je vais parler par la suite puisque l’œuvre et ses dérivés sont aussi bien appréciés des hommes que des femmes, dont les tranches d’âge sont diverses ! En gros, cela fait office de must depuis sa sortie, je parle bien entendu de Kimi ni Todoke, aussi nommé Sawako.


Sawako est une jeune lycéenne assez réservée et timide, cependant elle suscite la peur et l'incompréhension à cause de son apparence, effectivement, la jeune fille avec sa peau très pâle et ses longs cheveux noirs est surnommée par tout ses camarades et ce depuis toute petite Sadako (fantôme en japonais). A l'opposé de la demoiselle se trouve Kazehaya, un jeune homme charmant et jovial que tout le monde considère comme un ami, il est d'ailleurs bien le seul à n'avoir que faire des bruits de couloir au sujet de Sadako, il la salue chaque fois qu'il la voit et ne l'affuble pas du sobriquet que les autres lui donnent. Sawako l'admire beaucoup pour sa popularité, et à son contact la jeune fille va essayer de surmonter peu à peu sa timidité et d'aller vers les autres. Elle commence doucement à changer mais il est difficile de combattre les préjugés. L’amitié qui naît entre la jeune fille et Kazehaya va faire jaser toute l’école et faire des jalouses, surtout que le caractère réservé et ambiguë de Kuronuma est propre à générer ragots et quiproquos …Au fil de petites aventures de Kuronuma, celle-ci fera la connaissance de la forte mais non moins attendrissante Chizuru et d'Ayane une pseudo bimbo qui cache un grand cœur, de Ryû un ami d’enfance taciturne de Kazehaya et Chizuru. Tout ce beau monde apprendra à composer avec l’étrange caractère de Sawako, à l’aider à exprimer ses sentiments sans ambiguïté, et à casser sa coquille faite de timidité et de réputation malvenue.

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Que dire de cette série? Et bien, cela a été un véritable coup de coeur! Même si au commencement c'était mal barré, effectivement au départ j'avais lu le manga sans réelle conviction...et malgré quelques passages vraiment trop mielleux et un peu trop tirés par les cheveux, je crois que j'ai fini par m'attacher à l'héroïne, qui par sa timidité, sa gentillesse, sa persévérance, et sa volonté de bien faire, nous donne envie de l'encourager. Je l'ai découverte il y a environ deux ans de cela, mais j'ai décidé de la poster ici aujourd'hui car je viens de repasser devant la carton où mes huit premiers tomes sont parqués.

Bon, on ne se cache pas la face, à première vue de la couverture on n'est pas forcément attiré c'est dommage qu'elle ne soit pas plus soignée, mais en ouvrant le premier tome et en lisant le premier chapitre on commence vraiment à apprécier l'oeuvre. C'est un shôjo qui se lit pour se détendre et se vider la tête. Le premier tome est assez lent puisqu'il s'agit de l'introduction et il faut dire qu'initialement cela ne devait être qu'un one-shot, enfin par la suite ça avance plus rapidement.

Les personnages sont attachants, qu'ils soient secondaires ou de premier plan, aussi me suis-je surprise à apprécier Sawako et Kazehaya alors qu'en général je les abhorre puisqu'il leurs arrive toujours tout un tas de trucs (CQFD puisque personnages principaux). Même si à mon sens, les plus intéressants reste Ayane et Pin, un professeur.

On a souvent des scènes comiques et ce grâce à Sawako, mais plus qu'une œuvre qui fait rire, je dirais qu'elle fait sourire. Effectivement, n'ayant jamais eu d'amis puisque tout le monde la fuyait, des fois sont réactions sont un peu space aussi trouve-t-on souvent des situations quelques peu confuses, voire disproportionnées! Mais c'est tellement attendrissant et pleins de bons sentiments, que cela ne semble pas aberrant et ne porte pas ombrage à la lecture ou au visionnage.

Un autre point positif est l'atmosphère qui se dégage de l'oeuvre. C'est apaisant et doux, et cela semble si fragile, on devrait qualifier la série par une catégorie de couleur que ce serait du pastel. Un des aspect fort de la licence est qu'elle vous tire un peu de votre pessimisme habituel et vous laisse croire que finalement oui, il y a des choses vraies, des choses pures, oui que oui la gentillesse ça existe vraiment. On nous présente une cheminement pour accéder à des choses simples, essentielles et pourtant parfois si difficiles à obtenir, même avec toute la persévérance du monde, et malgré tout avec de l'espoir dont elle est capable cette bave jeune fille essaie d'avancer, d'évoluer. Et cela, c'est admirable.

Et il y a cette relation qu'elle entretient avec le héros, c'est à la fois mignon, innocent, et un peu naïf. Mais tellement frais. Mais pas niais. Jamais. La niaiserie, on la retrouve surtout dans des mangas de Yuu Watase, etc. Bref de bons vieux Shôjos bien guimauves et roses alors qu'il n'en est rien avec Sawako où l'on ne trouve que de bons sentiments, une ambiance bonne enfant mais qui ne vire pas à l'idiotie, de la légèreté et de la poésie à certains moments même.

Quoi qu'il en soit, je conseille cette série, même si je favoriserai plutôt le support papier. Je n'ai rien contre l'anime mais je trouve que le manga a plus de charme. Un drama existe paraît-il, mais ne l'ayant pas testé, je préfère ne pas me prononcer.
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Smurf

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MessageSujet: Re: Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo   Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo Icon_minitimeMer 26 Sep - 16:25

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MessageSujet: Re: Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo   Les divagations littéraires, audiovisuelles et musicales d'Epo Icon_minitimeMer 26 Sep - 17:29

Merci à toi Smurf pour ta participation ô combien pertinente XD

Puisque le serveur est encore mort, je vais en profiter pour vous parler de deux films aujourd'hui. Le Discours d'un Roi et Wallis & Edward. Pourquoi vous demandez-vous sûrement... Et bien puisque l'on y retrouve les mêmes figures historiques et qu'ils se complètent merveilleusement bien.

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Ce film raconte le combat d'un homme contre son handicap. Ce dernier s'apprête à devenir roi alors que rien ne l'y avait préparé mais lorsque son frère abdique, il se retrouve dans l'obligation de monter sur le trône et régner en tant que monarque d'Angleterre dans une époque trouble puisque nous sommes à l'aube de la Seconde Guerre Mondiale. Inapte à manier l'art de la rhétorique dans une époque où la radiodiffusion devient le premier média en terme de communication, il se voit obligé de faire appel à un thérapeute aux méthodes peu conventionnelles pour lui permettre de lutter et supplanter son problème de bégaiement. Outre une fresque historique, le récit nous dépeint la relation de ces deux hommes où s'affrontent la souffrance, la persévérance, le sens du devoir face à la modernité, la pertinence et l'opiniâtreté.


Bande-Annonce, dispo ici: https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=zYzpAziwk4A

Avant toute chose pour ceux et celles qui n'ont pas encore vu ce film, je vous conseille vivement de le voir en VO, le fait que je ne vous ai donné que cette version de la bande annonce n'est pas une action innocente. Je prône toujours la VO (sauf rares, très rares exception), mais plus que par dogmatisme, il s'agit là de vous livrer là un réel plus à l'interprétation très juste de Colin Firth, vous pourrez aussi profiter de l'accent très chic d'Helena Bonham Carter.

Au début (alors que je n'avais pas encore vu la bande annonce donc), je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Un film qui dure pratiquement deux heures où l'on voit un Roi qui essaye tant bien que mal d'effacer son bégaiement pour paraître plus crédible... on ne pouvait pas dire que cela soit particulièrement accrocheur. Mais c'était basé sur une histoire vraie, de surcroît dans une époque anglaise sur laquelle j'étais peu renseignée en dehors du scandale provoqué par l'abdication du trône. Du coup, je suis allée le voir dans une salle obscure, malheureusement en VF, quoi qu'il en soit le temps a défilé à toute vitesse sans que je ne m'en rende compte.

En ce qui concerne la réalisation, j'ai trouvé les images très froides et ternes en terme de couleurs. Mais Tom Hooper a parfaitement su bien ressortir le mal-être de George VI et à nous le communiquer à sa juste valeur. Aussi suit-on avec engouement avec l'évolution de notre jeune Roi plus humain que jamais, proche de sa famille, véritablement amoureux de sa femme, et attaché à sa patrie. Prêt à tout pour que son peuple affronte la guerre dans la dignité. J'ai toujours trouvé la bouille de Colin Firth des plus charmante et attachante, mais dans un tel rôle cela s'est décuplé !

Pour ce qui est du casting et donc des interprétations, Colin Firth dans le rôle du Roi est juste incroyable, d'ailleurs il accède enfin à la consécration car il méritait que ses talents soient loués depuis déjà quelques années (même s j'en conviens, bien des navets figurent à sa filmographie). Durant tout le film il arrive à nous convaincre de son bégaiement, de son désespoir, son manque de confiance en lui pour accéder au trône, mais aussi de sa volonté à traverser tout ceci avec l'aide sa très persuasive, épouse la future Queen Mum qui est jouée par Helena Bonham et de Geoffrey Rush dans le rôle du thérapeute.

La relation entre le Roi et le thérapeute est vraiment très intéressante à suivre, une superbe histoire d'amitié entre deux hommes qui n'auraient jamais dû se rencontrer. Un futur roi enfermé dans les carcan du protocole de la Cour anglais face à un australien qui fait fi de toute étiquette et le traite familièrement.

J'ai beaucoup aimé aussi la construction du film avec le côté historique qui a été menée en arrière-plan et judicieusement ajustée pour satisfaire tous les spectateurs.

Ce déplore que l'on se soit trop focalisé sur l'allocution du roi et pas assez sur la situation politique de l'époque. Notamment sur l'abdication en elle-même d'Edward et sa relation avec celle qui deviendra plus tard sa femme, Wallis. Malheureusement dans ce film, il passe pour le pire égoïste irresponsable que la Terre est portée alors qu'en réalité il n'en fut rien. Mais en dehors de ce manichéisme je n'ai rien à redire sur cette œuvre.

J'ai trouvé la BO bonne, cependant ce n'est pas ce qui m'a le plus marqué dans le film. Surtout face à celle de W.E. Cependant il faut louée l'équipe de montage de la bande annonce pour avoir utilisé la piste The Orange Tree (extraite de la Bande Originale du film L'Illustionniste) qui a donné une atmosphère particulière à la ba et vraiment contribué à donné envie d'aller voir le film.

Pour finir, j'irais jusqu'à dire que Le Discours d'un Roi n'est certes pas un chef-d'oeuvre mais qu'il s'en rapproche fortement et ce en mêlant plusieurs émotions. Il est captivant, beau, délicat, drôle... On en redemande tout simplement !


[Critique de W.E en cours de rédaction]
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